On a toujours l’air idiot — ou abusif — quand on projette sur nos vies d’adultes, sur leurs aléas, sur leurs échecs, sur leurs succès, nos souvenirs d’enfance.
On a toujours l’air idiot — ou abusif — quand on projette sur nos vies d’adultes, sur leurs aléas, sur leurs échecs, sur leurs succès, nos souvenirs d’enfance. Hervé Bazin