On est si bien, la tète appuyée sur l’épaule d’une femme que l’on aime ! il semble qu’on la respire, qu’on fasse partie de sa personne.
On est si bien, la tète appuyée sur l’épaule d’une femme que l’on aime ! il semble qu’on la respire, qu’on fasse partie de sa personne. Paul de Kock