On n’a besoin d’aucun art pour ouvrir un oursin que l’on vient de ramasser et pour se régaler de son affolante chair crue. Et c’est le sommet de la gastronomie.
On n’a besoin d’aucun art pour ouvrir un oursin que l’on vient de ramasser et pour se régaler de son affolante chair crue. Et c’est le sommet de la gastronomie. Amélie Nothomb