On ne jette point l’ancre dans le fleuve de la vie ; il emporte également celui qui lutte contre son cours et celui qui s’y abandonne, le sage comme l’insensé ; et tous deux arrivent à la fin de leurs jours, l’un après en avoir abusé, et l’autre sans en avoir joui.
On ne jette point l’ancre dans le fleuve de la vie ; il emporte également celui qui lutte contre son cours et celui qui s’y abandonne, le sage comme l’insensé ; et tous deux arrivent à la fin de leurs jours, l’un après en avoir abusé, et l’autre sans en avoir joui. Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre