On ne le sait que trop, ces tyrans sont les vices. Le plus cruel de tous dans ses sombres caprices, Le plus lâche à la fois, et le plus acharné, Qui plonge au fond du cœur un trait empoisonné. Ce bourreau de l’esprit, quel est-il ? c’est l’envie.
On ne le sait que trop, ces tyrans sont les vices. Le plus cruel de tous dans ses sombres caprices, Le plus lâche à la fois, et le plus acharné, Qui plonge au fond du cœur un trait empoisonné. Ce bourreau de l’esprit, quel est-il ? c’est l’envie. Voltaire