On peut châtier l’impertinence, mais on ne lui doit que le dédain. En effet, il y a deux justices s celle de la parole et celle du silence. La justice qui tient le glaive, mesure les torts et frappe, est moins sévère que celle qui tient la balance, pèse l’homme et se tait.
On peut châtier l’impertinence, mais on ne lui doit que le dédain. En effet, il y a deux justices s celle de la parole et celle du silence. La justice qui tient le glaive, mesure les torts et frappe, est moins sévère que celle qui tient la balance, pèse l’homme et se tait. Henri-Frédéric Amiel