On pourrait croire qu’en passant du roman à un récit où tout est vrai, on quitte l’incertain pour le solide. C’est le contraire. Rien n’est moins sûr que la mémoire.
On pourrait croire qu’en passant du roman à un récit où tout est vrai, on quitte l’incertain pour le solide. C’est le contraire. Rien n’est moins sûr que la mémoire. Félicien Marceau