On prétend nous guérir de l’amour par la peinture de ses faiblesses. Je ne sais, là-dessus, comment les auteurs s’y prennent, mais je vois que les spectateurs sont toujours du parti de l’amant faible, et que souvent ils sont fâchés qu’il ne le soit pas davantage.
On prétend nous guérir de l’amour par la peinture de ses faiblesses. Je ne sais, là-dessus, comment les auteurs s’y prennent, mais je vois que les spectateurs sont toujours du parti de l’amant faible, et que souvent ils sont fâchés qu’il ne le soit pas davantage. Jean-Jacques Rousseau