On se fait à la férocité des lois de son siècle, comme on se fait aux guerres suscitées par la sottise humaine, à l’inégalité des conditions, à la mauvaise police des routes et à l’incurie des villes.
On se fait à la férocité des lois de son siècle, comme on se fait aux guerres suscitées par la sottise humaine, à l’inégalité des conditions, à la mauvaise police des routes et à l’incurie des villes. Marguerite Yourcenar