On se souvient de ce qui nous plaît ou nous déplaît. Les affects, qu’ils soient positifs ou négatifs, sont un facteur de renforcement mémoriel. On retient mieux les seconds, pour des raisons liées à l’instinct de survie. Mais on oublie facilement quelqu’un qui ne nous touche ni en bien ni en mal.
On se souvient de ce qui nous plaît ou nous déplaît. Les affects, qu’ils soient positifs ou négatifs, sont un facteur de renforcement mémoriel. On retient mieux les seconds, pour des raisons liées à l’instinct de survie. Mais on oublie facilement quelqu’un qui ne nous touche ni en bien ni en mal. Shane Kuhn