Parmi les nouveaux riches, comme on disait, vers mil neuf cent, la grande mode était de se faire peindre sous couvert de mécénat. Au fond, les Wittgenstein, comme leurs semblables, se fichaient éperdument de l’art, mais ils voulaient jouer les mécènes.
Parmi les nouveaux riches, comme on disait, vers mil neuf cent, la grande mode était de se faire peindre sous couvert de mécénat. Au fond, les Wittgenstein, comme leurs semblables, se fichaient éperdument de l’art, mais ils voulaient jouer les mécènes. Thomas Bernhard