Peut-être chaque soir acceptons-nous le risque de vivre, en dormant, des souffrances que nous considérons comme nulles et non avenues parce qu’elle seront ressenties au cours d’un sommeil que nous croyons sans conscience.
Peut-être chaque soir acceptons-nous le risque de vivre, en dormant, des souffrances que nous considérons comme nulles et non avenues parce qu’elle seront ressenties au cours d’un sommeil que nous croyons sans conscience. Marcel Proust