Plus qu’à quarante ans, c’est à quarante-cinq ans que ça bascule. La difficulté de passer les quarante ans tient surtout à l’idée que l’on s’en fait vers trente-huit ans, trente-neuf ans, mais dans les faits, rien ne change. En revanche, une fois franchi le cap des quarante-cinq ans, on entre dans la dernière ligne droite avant la cinquantaine. Il faut accepter de vieillir et apprendre à faire avec. C’est aussi l’âge des désillusions.
Plus qu’à quarante ans, c’est à quarante-cinq ans que ça bascule. La difficulté de passer les quarante ans tient surtout à l’idée que l’on s’en fait vers trente-huit ans, trente-neuf ans, mais dans les faits, rien ne change. En revanche, une fois franchi le cap des quarante-cinq ans, on entre dans la dernière ligne droite avant la cinquantaine. Il faut accepter de vieillir et apprendre à faire avec. C’est aussi l’âge des désillusions. Marianne Rubinstein