Plus tard, je me suis aperçu que ce pays était rusé et un peu menteur(…) Il faisait des cauchemars et peut-être il aimait ses noirceurs. Il multipliait les fêtes et les carnavals car il ressentait une difficulté d’être, et toujours le néant venait battre ses rêves.
Plus tard, je me suis aperçu que ce pays était rusé et un peu menteur(…) Il faisait des cauchemars et peut-être il aimait ses noirceurs. Il multipliait les fêtes et les carnavals car il ressentait une difficulté d’être, et toujours le néant venait battre ses rêves. Gilles Lapouge