Pour les journalistes, la vérité n’est bonne qu’à être violée. Le seul cas où ils respectent les faits, c’est lorsqu’ils ont intérêt à les imprimer. Autrement, il est de bon ton de ne donner que des âneries en pâture au public.
Pour les journalistes, la vérité n’est bonne qu’à être violée. Le seul cas où ils respectent les faits, c’est lorsqu’ils ont intérêt à les imprimer. Autrement, il est de bon ton de ne donner que des âneries en pâture au public. Frank Russel