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Pourquoi dit-on la peine, la douleur, le chagrin ? Ce n’est pas un état d’âme unique. On devrait dire les peines, les douleurs, les chagrins, car la souffrance initiale se décompose en mille séquences aussi douloureuses que le choc premier, qui le perpétuent, l’enflent.

septembre 6, 2010 Frédérick Jézégou

Pourquoi dit-on la peine, la douleur, le chagrin ? Ce n’est pas un état d’âme unique. On devrait dire les peines, les douleurs, les chagrins, car la souffrance initiale se décompose en mille séquences aussi douloureuses que le choc premier, qui le perpétuent, l’enflent. Katherine Pancol

Le Dico des citations

← J’avais dix-neuf ans. .. Qu’est-ce qu’on sait de la vie à dix-neuf ans ? – Pas grand-chose. .. Mais à trente ans, on ne sait rien non plus. A quel âge apprend-on ? – On n’apprend jamais. On refait chaque fois le même parcours, les mêmes erreurs. C’est plus fort que nous. .. On se doit d’emprunter le même labyrinthe chaque fois qu’on aime !.
On ne s’habitue pas à ces mille douleurs sournoises. Le long travail de la douleur, de la peine qui met du temps à s’éteindre et qui s’efface peu à peu à condition qu’on lui laisse le temps de rebondir, de rebondir de moins en moins haut, de moins en moins fort. Et puis, un jour, elle rebondit si bas qu’on l’attrape dans sa main, qu’on la contemple, qu’on la caresse, qu’on la fait sienne. On la met dans sa poche avec un sourire de connivence, avec cette belle force qu’elle a fait naître en rebondissant si longtemps et si haut. Que c’est long !. →

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