Prise dans son ensemble, la religion grecque n’était qu’une suite de fêtes plus riantes, plus animées, plus poétiques les unes que les autres. C’était à la célébration de ces fêtes qu’étaient destinées les plus belles productions de la poésie nationale, depuis le drame jusqu’à l’hymne épique ou lyrique.
Prise dans son ensemble, la religion grecque n’était qu’une suite de fêtes plus riantes, plus animées, plus poétiques les unes que les autres. C’était à la célébration de ces fêtes qu’étaient destinées les plus belles productions de la poésie nationale, depuis le drame jusqu’à l’hymne épique ou lyrique. Claude Fauriel