Quand je songe que sur cet immense Océan, où l’on peut naviguer durant des semaines sans rencontrer la moindre voile, d’innombrables navires suivent inflexiblement la route qui doit les faire s’éventrer l’un l’autre, je me demande comment on peut encore douter de la Providence.
Quand je songe que sur cet immense Océan, où l’on peut naviguer durant des semaines sans rencontrer la moindre voile, d’innombrables navires suivent inflexiblement la route qui doit les faire s’éventrer l’un l’autre, je me demande comment on peut encore douter de la Providence. Paul Masson