Quand je t’aimais, pour toi j’aurais donné ma vie, – Mais c’est toi, de t’aimer, toi qui m’ôtas l’envie. – A tes pièges d’un jour on ne prendra plus ; – Tes ris sont maintenant et tes pleurs superflus.
Quand je t’aimais, pour toi j’aurais donné ma vie, – Mais c’est toi, de t’aimer, toi qui m’ôtas l’envie. – A tes pièges d’un jour on ne prendra plus ; – Tes ris sont maintenant et tes pleurs superflus. Alfred de Musset