Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, – Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, – Je vois se dérouler des rivages heureux – Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone.
Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d’automne, – Je respire l’odeur de ton sein chaleureux, – Je vois se dérouler des rivages heureux – Qu’éblouissent les feux d’un soleil monotone. Charles Baudelaire