Quand on chatte, on demeure superficiel. On peut difficilement faire autrement. C’est un peu comme si on causait dans la rue ou dans le métro. Le monde est là qui entend tout ce qu’on dit. Alors, on reste léger.
Quand on chatte, on demeure superficiel. On peut difficilement faire autrement. C’est un peu comme si on causait dans la rue ou dans le métro. Le monde est là qui entend tout ce qu’on dit. Alors, on reste léger. Frank Andriat