Quand on porta aux Invalides Les cendres de Napoléon Ier, On s’aperçut, c’est trop stupide, Qu’il n’y avait pas de cendrier.
Quand on porta aux Invalides Les cendres de Napoléon Ier, On s’aperçut, c’est trop stupide, Qu’il n’y avait pas de cendrier. Tristan Bernard