Quand on sait que l’industrie alimentaire française utilise, bon an mal an, de 100 à 150 tonnes de colorants chimiques, il y a de quoi se demander si tout ce qui est appétissant est vraiment comestible.
Quand on sait que l’industrie alimentaire française utilise, bon an mal an, de 100 à 150 tonnes de colorants chimiques, il y a de quoi se demander si tout ce qui est appétissant est vraiment comestible. Maurice Denuzière