Quand on songe à la quantité de ménages où deux êtres s’exaspèrent, se dégoûtent autour de la même table, du même lavabo, sous la même couverture, c’est extraordinaire comme on divorce peu ! Ils se détestent et ne peuvent se fuir au fond de ces maisons.
Quand on songe à la quantité de ménages où deux êtres s’exaspèrent, se dégoûtent autour de la même table, du même lavabo, sous la même couverture, c’est extraordinaire comme on divorce peu ! Ils se détestent et ne peuvent se fuir au fond de ces maisons. François Mauriac