Quand on va étudier l’intelligence des autres, ce n’est pas pour abandonner la sienne, mais la multiplier indéfiniment, fort de cet apport de l’autre.
Quand on va étudier l’intelligence des autres, ce n’est pas pour abandonner la sienne, mais la multiplier indéfiniment, fort de cet apport de l’autre. Jean-Marie Adiaffi