Quand tu arrives à la fin du monde, peu importe la route que tu as prise.
Quand tu arrives à la fin du monde, peu importe la route que tu as prise. Isaac Marion
- Les flics, dans le fourgon, quand ils ont vu que je continuais à ne pas respirer et même à me boucher le nez, m’ont cassé la gueule pour outrages aux représentants des organes respiratoires dans l’exercice de leurs fonctions.
- N’est-il pas consolant – voire, profondément satisfaisant – de pouvoir se dire, en repensant à sa propre vie, que si l’on a échoué, c’est uniquement là où les autres n’ont pas eu le courage ou la volonté de tenter ?