Que mes suprêmes fleurs n’attendent que la foudre – Et qu’en dépit des pleurs des amants les plus beaux, – À mes roses, la main qui touche tombe en poudre : – Mes plus doux souvenirs bâtissent des tombeaux !.
Que mes suprêmes fleurs n’attendent que la foudre – Et qu’en dépit des pleurs des amants les plus beaux, – À mes roses, la main qui touche tombe en poudre : – Mes plus doux souvenirs bâtissent des tombeaux !. Paul Valéry