Que pour loi, belle enfant, au printemps de ton âge, Du livre du destin ce livre soit l’image ! L’amitié par mes mains à tes yeux va l’ouvrir ; De ses aveux plus tard l’amour va le couvrir. .. . Puissent-ils de tes jours, écartant tout nuage, Confondre encor leurs pleurs à la dernière page.
Que pour loi, belle enfant, au printemps de ton âge, Du livre du destin ce livre soit l’image ! L’amitié par mes mains à tes yeux va l’ouvrir ; De ses aveux plus tard l’amour va le couvrir. .. . Puissent-ils de tes jours, écartant tout nuage, Confondre encor leurs pleurs à la dernière page. Lamartine