Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, – Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! – Si ton oeil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte – D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ?.
Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, – Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! – Si ton oeil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte – D’un Infini que j’aime et n’ai jamais connu ?. Charles Baudelaire