Quelle que soit la façon dont les gens font l’amour, quelles que soient les configurations qu’ils choisissent, la géométrie de leurs corps, l’acte repose toujours sur un même mouvement : un va-et-vient fluide, répété, régulier, ample. Comme s’il fallait pour aller vers l’autre descendre d’abord en soi, en tirer le meilleur. Comme s’il fallait d’abord chercher le mystère qui nous fait tels que nous sommes, afin de l’unir au mystère de l’autre.
Quelle que soit la façon dont les gens font l’amour, quelles que soient les configurations qu’ils choisissent, la géométrie de leurs corps, l’acte repose toujours sur un même mouvement : un va-et-vient fluide, répété, régulier, ample. Comme s’il fallait pour aller vers l’autre descendre d’abord en soi, en tirer le meilleur. Comme s’il fallait d’abord chercher le mystère qui nous fait tels que nous sommes, afin de l’unir au mystère de l’autre. Christophe Ono-dit-Biot