Quelqu’un qui n’aurait jamais vu la mer et à qui on raconterait ses impressions pourrait supposer que c’est la même chose que des montagnes russes. Quelqu’un qui ne sent pas la poésie, et qui n’est pas touché par la vérité, n’a jamais lu Baudelaire.
Quelqu’un qui n’aurait jamais vu la mer et à qui on raconterait ses impressions pourrait supposer que c’est la même chose que des montagnes russes. Quelqu’un qui ne sent pas la poésie, et qui n’est pas touché par la vérité, n’a jamais lu Baudelaire. Marcel Proust