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Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d’un massif d’arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j’étais assis.

avril 25, 2011 Frédérick Jézégou

Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d’un massif d’arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j’étais assis. Châteaubriand

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← Il est clair que dans un monde où il est conseillé d’être souple, bien vu de changer son fusil d’épaule toutes les cinq minutes et en rythme avec les autres, l’individualiste est un vecteur d’ennui, brandon de la discorde. Aussi, on lui préfère le pleutre, le mièvre, l’obéissant, qui courbe le dos, joue le jeu, se coule dans le moule et, finalement, réussit à faire son trou sans faire de vagues.
Quatre bœufs attelés, d’un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent. →

Une pensée sur “Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d’un massif d’arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j’étais assis.”

Cochonfucius
juillet 18, 2012 à 3:09
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Bonnes proportions entre ombre et lumière, telle est la recette d'une agréable pénombre.

Commentaires fermés.

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