Quoi qu’on fasse et qu’il en soit, et aussi loin qu’on aille, il faut s’étendre au bout du compte pour dormir, c’est fatal. On a la laisse au cou, la fatigue qui vous retient à la terre finalement vous y tire, et l’on tombe, toujours, que voulez-vous. C’est l’élastique de la mort.
Quoi qu’on fasse et qu’il en soit, et aussi loin qu’on aille, il faut s’étendre au bout du compte pour dormir, c’est fatal. On a la laisse au cou, la fatigue qui vous retient à la terre finalement vous y tire, et l’on tombe, toujours, que voulez-vous. C’est l’élastique de la mort. Gaétan Soucy