Chaque citation exprime les opinions de son auteur et ne saurait engager Dicocitations.

Regarde. La glycine a jauni sur la porte, – Et voici que l’automne aux tempes couronnées – De lierre caduc et de roses fanées – S’avance et d’un pied lourd foule les feuilles mortes. – Il marche et son manteau de pourpre au crépuscule – Se dénoue et se mêle aux nuances champêtres.

Regarde. La glycine a jauni sur la porte, – Et voici que l’automne aux tempes couronnées – De lierre caduc et de roses fanées – S’avance et d’un pied lourd foule les feuilles mortes. – Il marche et son manteau de pourpre au crépuscule – Se dénoue et se mêle aux nuances champêtres. Tristan Derème

Le Dico des citations

Une pensée sur “Regarde. La glycine a jauni sur la porte, – Et voici que l’automne aux tempes couronnées – De lierre caduc et de roses fanées – S’avance et d’un pied lourd foule les feuilles mortes. – Il marche et son manteau de pourpre au crépuscule – Se dénoue et se mêle aux nuances champêtres.

  • novembre 8, 2011 à 4:02
    Permalink

    L'automne surprend les daltoniens.

Commentaires fermés.

--> © 2001- 2025 Frédéric Jézégou - & Dicocitations SAS - Données personnelles - Plan du site - Mentions légales : La base de données des citations est la propriété exclusive de Frédéric Jézégou producteur du contenu .