Regarde. La glycine a jauni sur la porte, – Et voici que l’automne aux tempes couronnées – De lierre caduc et de roses fanées – S’avance et d’un pied lourd foule les feuilles mortes. – Il marche et son manteau de pourpre au crépuscule – Se dénoue et se mêle aux nuances champêtres.
Regarde. La glycine a jauni sur la porte, – Et voici que l’automne aux tempes couronnées – De lierre caduc et de roses fanées – S’avance et d’un pied lourd foule les feuilles mortes. – Il marche et son manteau de pourpre au crépuscule – Se dénoue et se mêle aux nuances champêtres. Tristan Derème
L'automne surprend les daltoniens.