René Char
Refuser la goutte d’imagination qui manque au néant, c’est se vouer à la patience de rendre à l’éternel le mal qu’il nous fait. O urne de laurier dans un ventre d’aspic !
Refuser la goutte d’imagination qui manque au néant, c’est se vouer à la patience de rendre à l’éternel le mal qu’il nous fait. O urne de laurier dans un ventre d’aspic !