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Rien n’attriste plus une femme que le froissement de ses vanités : je n’ai vu nulle part une femme mal mise étre aimable et de bonne humeur.

décembre 31, 2012 Frédérick Jézégou

Rien n’attriste plus une femme que le froissement de ses vanités : je n’ai vu nulle part une femme mal mise étre aimable et de bonne humeur.
Honoré de Balzac

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← L’amour pour certaines âmes ne s’essaye pas; ou il est, ou il n’est pas. Quand il se montre, quand il se lève, il est tout entier.
Quoique le malheur passe pour développer les vertus, il ne les développe que chez les gens vertueux; car ces sortes de nettoyages de conscience n’ont lieu que chez les gens naturellement propres. →

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