Rien n’était tragique. Il savait qu’il existait des navettes entre l’ïle de la souffrance, celle de l’oubli, et celle, plus lointaine encore, de l’espoir.
Rien n’était tragique. Il savait qu’il existait des navettes entre l’ïle de la souffrance, celle de l’oubli, et celle, plus lointaine encore, de l’espoir. David Foenkinos