Ses bêtes, moins nombreuses après la vente d’une partie du troupeau, avaient assez d’herbe pour engraisser tranquillement, sauf si un été trop chaud la grillait. Le risque, en Normandie, était minime.
Ses bêtes, moins nombreuses après la vente d’une partie du troupeau, avaient assez d’herbe pour engraisser tranquillement, sauf si un été trop chaud la grillait. Le risque, en Normandie, était minime. Bernard Ollivier