Si je me soignais, je mourais. Ce qui me soutient, c’est la vie fiévreuse que je mène. Puis, se soigner, c’est bon pour les femmes du monde qui ont une famille et des amis.
Si je me soignais, je mourais. Ce qui me soutient, c’est la vie fiévreuse que je mène. Puis, se soigner, c’est bon pour les femmes du monde qui ont une famille et des amis. Alexandre Dumas fils