Si les bétes à quatre pattes, les oiseaux et les fleurs sympathisent si volontiers avec la femme, et la respectent et l’écoutent avec plus d’intérêt que l’homme, c’est parce que la sympathie pour tout ce qui a vie est plus active chez la femme, qui porte en elle le germe de création et de vie, et à qui la nature révèle mystérieusement l’unité.
Si les bétes à quatre pattes, les oiseaux et les fleurs sympathisent si volontiers avec la femme, et la respectent et l’écoutent avec plus d’intérêt que l’homme, c’est parce que la sympathie pour tout ce qui a vie est plus active chez la femme, qui porte en elle le germe de création et de vie, et à qui la nature révèle mystérieusement l’unité. Alphonse Toussenel