Si on montrait aux parents ce que leur enfant a en propre, ils auraient moins de possessivité ; ils auraient moins la tentation de juger l’enfant par rapport à ce qu’ils sont eux-mêmes et à ce qu’ils en attendent. Ils seraient plus enclins à admettre que cet enfant se conduise d’après ses propres affinités en lui donnant l’opportunité de rencontrer des gens comme lui.
Si on montrait aux parents ce que leur enfant a en propre, ils auraient moins de possessivité ; ils auraient moins la tentation de juger l’enfant par rapport à ce qu’ils sont eux-mêmes et à ce qu’ils en attendent. Ils seraient plus enclins à admettre que cet enfant se conduise d’après ses propres affinités en lui donnant l’opportunité de rencontrer des gens comme lui. Françoise Dolto