Si Socrate semble triste dès qu’il refait surface, c’est parce que, venant d’éprouver l’inexistence de son moi, le voilà malgré tout contraint d’incarner son rôle de sage des rues et de ressasser sa formule : Je sais que je ne suis rien.
Si Socrate semble triste dès qu’il refait surface, c’est parce que, venant d’éprouver l’inexistence de son moi, le voilà malgré tout contraint d’incarner son rôle de sage des rues et de ressasser sa formule : Je sais que je ne suis rien. Frédéric Schiffter