Si vous aviez entendu, comme moi, en séance spéciale avec une délégation du Congrès juif mondial, son chef dire qu’il fallait que la Suisse fasse maintenant quelque chose d’illégal (sic) pour se faire pardonner son attitude pendant la guerre, vous sauriez que tout ce qui a pu sortir d’officiel, après cette période, et qui avait été commandité sous la menace internationale, doit être manié avec des pincettes.
Si vous aviez entendu, comme moi, en séance spéciale avec une délégation du Congrès juif mondial, son chef dire qu’il fallait que la Suisse fasse maintenant quelque chose d’illégal (sic) pour se faire pardonner son attitude pendant la guerre, vous sauriez que tout ce qui a pu sortir d’officiel, après cette période, et qui avait été commandité sous la menace internationale, doit être manié avec des pincettes. Suzette Sandoz