S’il peut quelquefois suffire pour que nous aimions une femme qu’elle nous regarde avec mépris, et que nous pensions qu’elle ne pourra jamais nous appartenir, quelquefois aussi il peut suffire qu’elle nous regarde avec bonté et que nous pensions qu’elle pourra nous appartenir.
S’il peut quelquefois suffire pour que nous aimions une femme qu’elle nous regarde avec mépris, et que nous pensions qu’elle ne pourra jamais nous appartenir, quelquefois aussi il peut suffire qu’elle nous regarde avec bonté et que nous pensions qu’elle pourra nous appartenir. Marcel Proust