(…) Sophie se met à pleurer, rien n’y fait, elle ne peut plus réfléchir, elle ne peut plus penser, elle ne peut que pleurer, sa tête dodeline de droite et de gauche sous l’effet de ce malheur irréparable qu’est sa vie, étalée là.
(…) Sophie se met à pleurer, rien n’y fait, elle ne peut plus réfléchir, elle ne peut plus penser, elle ne peut que pleurer, sa tête dodeline de droite et de gauche sous l’effet de ce malheur irréparable qu’est sa vie, étalée là. Pierre Lemaitre