Souffrez qu’Amour cette nuit vous réveille ; Par mes soupirs laissez-vous enflammer : Vous dormez trop, adorable merveille ; Car c’est dormir que de ne point aimer.
Souffrez qu’Amour cette nuit vous réveille ; Par mes soupirs laissez-vous enflammer : Vous dormez trop, adorable merveille ; Car c’est dormir que de ne point aimer. Molière