Stefan Zweig
Toute douleur est lâche, elle recule devant notre formidable volonté de vivre, qui semble plus solidement ancrée dans notre chair qu’aucune passion mortelle ne l’est dans notre esprit.
Toute douleur est lâche, elle recule devant notre formidable volonté de vivre, qui semble plus solidement ancrée dans notre chair qu’aucune passion mortelle ne l’est dans notre esprit.