Que le pape ne croie pas avoir affaire à un imbécile. Devinez ce qu’ils mettent en avant, le salut de mon âme.
Que le pape ne croie pas avoir affaire à un imbécile. Devinez ce qu’ils mettent en avant, le salut de
Lire la suitecitations
Il ne suffit pas que les formules soient bonnes ; ce qu’on en fait devrait aussi être bon.
Il ne suffit pas que les formules soient bonnes ; ce qu’on en fait devrait aussi être bon. Aldous Huxley
Lire la suiteQuand les gens se montrent pleins de soupçon à votre égard, on se met à être soupçonneux envers eux.
Quand les gens se montrent pleins de soupçon à votre égard, on se met à être soupçonneux envers eux. Aldous
Lire la suiteC’est une belle chose de penser que nous pouvons continuer à être utiles socialement, même après notre mort. Pour faire pousser les plantes.
C’est une belle chose de penser que nous pouvons continuer à être utiles socialement, même après notre mort. Pour faire
Lire la suiteMon enfant, pour être quelque chose de grand il faut savoir commencer par n’être rien.
Mon enfant, pour être quelque chose de grand il faut savoir commencer par n’être rien. Honoré de Balzac Le Dico
Lire la suiteVivre est un trapèze. Les dogmes et les savoirs sont des filets qui amortissent la chute. La grâce est plus grande sans eux.
Vivre est un trapèze. Les dogmes et les savoirs sont des filets qui amortissent la chute. La grâce est plus
Lire la suiteVivre, c’est aller faire ses courses et croiser un ange qui ne sait pas son nom, ouvrir un livre et se trouver soudain dans une forêt au pied de vitraux vert émeraude, regarder par la fenêtre et voir passer les disparus, les trop sensibles.
Vivre, c’est aller faire ses courses et croiser un ange qui ne sait pas son nom, ouvrir un livre et
Lire la suiteVivre, c’est une poussière d’or au bout des doigts, une chanson bleue aux lèvres d’une nourrice, le livre du clavier tempéré de Bach qui s’ouvre à l’envers et toutes les notes qui roulent comme des billes dans la chambre.
Vivre, c’est une poussière d’or au bout des doigts, une chanson bleue aux lèvres d’une nourrice, le livre du clavier
Lire la suiteLe peuple est pour un ministre ce qu’un grand capital est aux yeux d’un banquier; une simple abstraction, une quantité algébrique qu’il fait entrer dans ses calculs.
Le peuple est pour un ministre ce qu’un grand capital est aux yeux d’un banquier; une simple abstraction, une quantité
Lire la suiteIl y a deux espèces de sots : ceux qui ne doutent de rien, et ceux qui doutent de tout. Les premiers sont dangereux, car ils se chargent de tout ; les autres ne le sont pas, car ils n’encouragent personne à les charger de quelque chose.
Il y a deux espèces de sots : ceux qui ne doutent de rien, et ceux qui doutent de tout.
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