Les hommes de bien sont les images des dieux.
Les hommes de bien sont les images des dieux. auteur antique : Diogène de Sinope
Lire la suiteCitations antiques
Citations des auteurs antiques
La cupidité est la métropole de tous les maux.
La cupidité est la métropole de tous les maux. auteur antique : Diogène de Sinope
Lire la suiteLe fondement de la justice est la bonne foi, c’est-à-dire le respect de notre parole, et l’inviolable fidélité à nos engagements.
Le fondement de la justice est la bonne foi, c’est-à-dire le respect de notre parole, et l’inviolable fidélité à nos
Lire la suiteNous devons demeurer fidèles aux inspirations de la nature, mettre tous nos avantages en commun par un échange réciproque de bons offices.
Nous devons demeurer fidèles aux inspirations de la nature, mettre tous nos avantages en commun par un échange réciproque de
Lire la suiteFortune, chose étrange, en fait, inexplicable !
Fortune, chose étrange, en fait, inexplicable ! auteur antique : Ménandre
Lire la suiteDites la vérité, gage de sûreté.
Dites la vérité, gage de sûreté. auteur antique : Ménandre
Lire la suiteLa fiction, imaginée pour amuser, doit, le plus possible, se rapprocher de la vérité ; elle n’a pourtant pas le droit de nous entraîner partout où il lui plaît.
La fiction, imaginée pour amuser, doit, le plus possible, se rapprocher de la vérité ; elle n’a pourtant pas le
Lire la suitePour instruire, sois concis ; l’esprit reçoit avec docilité et retient fidèlement un court précepte ; s’il est trop plein, il laisse échapper tout ce qu’il a reçu de trop.
Pour instruire, sois concis ; l’esprit reçoit avec docilité et retient fidèlement un court précepte ; s’il est trop plein,
Lire la suiteBien coupable est le mortel qui se raidit contre les décrets des dieux ; eux seuls peuvent accorder les dons de la fortune aux uns, et ceux de la gloire aux autres.
Bien coupable est le mortel qui se raidit contre les décrets des dieux ; eux seuls peuvent accorder les dons
Lire la suiteQuelle que soit l’autorité qui régisse un empire, que le pouvoir soit le partage d’un seul, de la multitude turbulente ou d’un petit nombre de sages, celui dont la bouche ne trahit point la vérité est toujours digne du premier rang.
Quelle que soit l’autorité qui régisse un empire, que le pouvoir soit le partage d’un seul, de la multitude turbulente
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