Sur toutes les cimes, Plus rien ne bouge, Aux sommets des arbres, Tu percois à peine Un souffle d’air. Dans la forêt les Nurnes se sont tus. Attends, bientôt, Tu reposeras à ton tour.
Sur toutes les cimes, Plus rien ne bouge, Aux sommets des arbres, Tu percois à peine Un souffle d’air. Dans la forêt les Nurnes se sont tus. Attends, bientôt, Tu reposeras à ton tour. Walter Moeus